Nom. Kiyokazu.
Prénom(s). Chikahito.
Surnom(s). Chika de façon sommaire, ou rouquin et autres joyeusetés hilarantes par les plus observateurs Âge. dix-huit ans Sexe. masculin Date&lieu de naissance. 31 décembre, né à Kobe Nationalité. Japonaise, son nom entier en est une preuve plutôt irréfutable Origines. Irlandaises, (de par son paternel, ce qui lui vaut sa couleur de cheveux qui, oui, est naturelle) Sexualité. volage, ou plus simplement bi Groupe. détenteur, d'un beau crocodile marin Rôle. étudiant (VIIe), dernière étape avant la prépa ; autant dire que monsieur n'est pas chaud-bouillant Est ici depuis. six ans, il est arrivé à ses treize ans Feat.

Qualités&défauts
simple ㄨ sociable ㄨ généreux ㄨ joueur ㄨ bon ami ㄨ patient ㄨ diplomate ㄨ compréhensif ㄨ indépendant ㄨ réaliste ㄨ sportif ㄨ franc ㄨ maniac ㄨ désinvolte ㄨ réactif ㄨ colérique ㄨ flemmard ㄨ observateur ㄨ insomniaque ㄨ rancunier ㄨ effronté ㄨ sarcastique ㄨ arrogant.

Pseudo. Aucun fix.
Âge. Dix-sept yo.
Comment es-tu tombé là ?. Si ma mémoire est bonne, par le biais de tops-site. Les tops-site, c'est magique. Suggestions ?. Hakuna Matata. seriously, j'vois rien à ajouter. Le code. OKAY PAR HISA

Comment as-tu connu Hayasaki ? « En réalité, ça a été une surprise de mon frère. Majeur et vacciné, il était le seul dans la confidence de mes, hm, mes petites hallucinations. On ne peux pas dire qu'il ait vraiment cherché, mais après être tombé par pur hasard sur le site web, il a tenu à faire ses recherches sur la fiabilité de l'info. Ce qui est asses comique quand on connait le spécimen et sa répugnance à en foutre une pour quelqu'un d'autre que lui même. M'enfin, il faut croire que pour son petit frère, il pouvait bien se fouler un peu. Toujours est-il qu'il lui a bien fallu deux à trois mois pour être totalement rassuré et venir me refourguer ça sur les épaules. Pour mon anniversaire, qui plus est. Alors, comment croyez-vous qu'un gosse de douze piges va interpréter ce type de cadeau ? Par une façon évasive de vous foutre à la porte pour votre différence - cet honteux don donné par Satan, exact. Alors, quoi de plus normal que le fait d'accepter son exil sans rechigner. Bien que je n'ai jamais eus à trop me plaindre de ces six dernières années. » Et qu'en penses-tu ? « Bah, vous savez, c'est que je peux avoir la main verte, quand je le veux. En fait, sans vantardise, je me trouve moi-même plutôt doué pour ce genre de travaux. Alors que certains y voient une corvée bien injustement donnée, personnellement ça a le don de me calmer. C'est que c'est bon pour les nerfs. Alors pourquoi ne serais-je pas content de cette institut ? Quand on est doté d'un don - comme le disait si bien mon frère - pareil que le miens - ou devrais-je dire notre ? - ; ça fait du bien au moral de rencontrer d'autres jeunes dans son cas. Vraiment. On se sens bien, moins en trop, plus à sa place. C'est un peu comme une seconde famille pas forcément très stable psychologiquement. C'est aussi ce qui rend nos quotidiens si chaleureux et drôles, en un sens. Bref. Oh, bien sur, j'ai encore du mal à me faire aux plantes vivantes qui viennent vous taper la discute à toute heure de la journée, sans parler de cette trainée blanchâtre que j'eus crus avoir croisé à la tombée de la nuit, peu après le couvre feu. Certains pensent que je suis juste un peu plus dérangé que mes congénères, mais vous savez, après six années de confinement entre ces murs, certaines choses ne peuvent que s'imposer d'elles même par la force du temps. Et certains propos tenus par d'autres pensionnaires me pousse à croire que je ne suis peut-être pas si fou que l'on essaye de me le faire croire ... Mais, finalement, qu'est-ce-que j'en aurais à foutre, moi ? De ces miroirs poussant comme des pommiers au milieu des pièces les plus insolites ? De cette impression que nous ne sommes pas seuls en ces lieux ? Après tout, j'ai dix-huit ans maintenant. Je ne suis qu'à deux ans de ma délivrance vers la vie active. Et, bientôt, je n'aurais plus à me soucier de rien. Ni de cet endroit maudit, ni de ses pensionnaires timbrés. » Tu crois au paranormal ? « Selon moi, cette question na pas lieu d'être. Trouvez moi un seul gosse de cette foutue institut qui ose dire qu'il ne crois guère au paranormal. Merde, pouvez vous ne serait-ce qu'imaginer les 1/10 de que ce les gens de mon espèce se doivent de subir chaque jour ? Du traumatisme lors des premières apparitions ? De l'impression - non, tu sentiment même - que cela peut donner ? De se croire givré ? Savez-vous ce que ça fait de devoir tout remettre en cause à une pauvre petite dizaine d'années ? Non, bien-sur que non. Vous n'êtes pas atteint, après tout. Très bien, profitez-en donc, mais sachez bien une chose : le terme de paranormal perd tout son sens ici. Entre nous. Et il en va de chacun d'avoir sa propre définition de ce qu'est le paranormal. » Un fantôme apparaît devant toi. Que fais-tu ? « Est-ce-que cette foutue interview est sérieuse ? Parce que si oui, je vais te répondre franchement : je lui casserais sa belle gueule translucide. Tu veux tenter ? Histoire de voir l'effet qu'il pourrait ressentir ... » Tu avais un rêve en venant ici ? « Au début, je ne voulais que rendre service à mon frère. L’alléger, en d'autres termes, du poids de notre secret sur mes facultés spéciales, de lui rendre la vie plus simple. Ou peut-être voulais-je tout bonnement lui renvoyer l'ascenseur ... Mais, peut importe ce que j'aurais pu souhaiter ; j'ai été hautement comblé. Mes premiers pas ici n'ont pas été trop désastreux, la populace est tendre et bien intentionnée, puis, j'y trouve mon compte. J'ai mes repères. Mon petit quotidien bien huilé. (...) Vous savez, je suis humain. Et comme tout bon petit humain perfide, mon plus grand rêve reste inatteignable pour les êtres de mon espèce : voler. Mais c'est ce qui fait la beauté d'un tel fantasme, d'ailleurs. » Et quel serait ton pire cauchemar ? « J'aime pas trop réfléchir à ce genre de problématique, vous savez. J'dirais que depuis gosse - tout du moins depuis que j'ai fais la connaissance avec mon don et esprit j'ai une fâcheuse tendance à avoir peur de laisser un membre dans la gueule d'une bête écailleuse. Ou de mourir noyé aussi, c'est sympa comme tout, niveau cauchemar. » Tu nous caches quelque chose non ? « pas mal de choses, ma belle, en effet. » Tu possèdes un esprit ? Et si oui, dis-nous en plus ! « Hm, certains me connaisses justement pour - ou devrais-je dire à cause de ? - lui. C'est que c'est une sacrée bébête, ce p'tit là. Tout en écaille, en crocs, en poids, en longueur et, surtout, en intelligence. Vous savez, ces crocodiles marins - aussi connus sous leur nom scientifique de Crocodylus porosus -, de sacrés prédateurs. C'est sur qu'il vaut mieux éviter de trop les titiller. Alors imaginez le résultat d'une rencontre entre un tel poids lourd et une pauvre gosse de dix ans à peine. Je ne saurais pas vous expliquer le pourquoi du comment et ses détails, mais toujours est-il qu'à cette fameuse compétition de natation j'aurais pu battre des record de par l'adrénaline ; si cette sale bestiole ne s'était pas retrouvée dans ma ligne, me barrant fièrement la route tout en me scrutant dans le blanc des yeux ... En réalité, c'est simple, comme tout bon gamin apeuré, j'ai finis par faire une crise d'angoisse au beau milieu du bassin. Tel un novice. De quoi vous foutre la honte ; et vous faire passer l'envie de vous retenter à la baignade, aussi. J'ai bien cru que j'allais mourir à demi-étranglé par tout ce chlore que j'amassais dans mes poumons, ouais. Gros coup de flippe. Et bien sur, c'est un rouquin tout tremblant qu'on a dû ressortir du barbotage à coup de sauvetage in extrémiste. Quoi de mieux pour commencer une si belle relation d'amour ? Enfin. De fil en aiguille, j'ai bien été obligé de prendre sur moi, hein. Et je lui avait même trouver un nom qui lui saillait comme un gant. (...) Enfin, c'est plutôt grâce à mon frère. C'est lui qui m'avait ri au nez lorsqu'il m'avait retrouvé tout tremblant sur le bas côté ce fameux jours. « ▬ Quoi, un croco ? Pff, tu t'es crue dans l'un de ces films d'horreur où les gugusses se font bouffer par un creachadóir de sept mètre de long ? Sérieusement, Chika, quand on se mange une compète le jour d'après, vaut-il pas mieux bien dormir la veille au soir ? Franchement, un croco ... et pourquoi par un alligator, aussi ! » Mais le destin était scellé. Une légende était née. Creachadóir. Ça sonnait plutôt bien aux oreilles d'un gosse de dix piges. Encore plus quand on sait que cela vient de vos origines Irlandaises, et que cela peut clairement se traduire par « prédateur ». Ouaip, pas mal du tout. (...) Bon, j'vous cache pas que j'en tire mes propres bénéfices. Comme le fait de tenir bien plus longtemps que la plupart des Hommes normalement constitués, dans l'eau. Ou que j’acquiers une certaine rapidité, ou encore une aisance pour la chasse de proie. C'est plus fort que moi. Un geste un peu trop brusque, un crissement, n'importe quoi peut me mettre dans mon mode Creachadóir. Et autant dire que ça a de quoi être asses déstabilisant. Autant pour les autres que pour moi, d'ailleurs. Et n'allez pas croire que j'en tire que du bon, hein. J'dois aussi faire avec ma sensibilité à la température. Un croco a une température avoisinant les 30°. Ils sont très dépendant du soleil - ceci expliquant le pourquoi de leurs préplacements sous celui-ci - et donc, pauvre petite chose que je suis, je me retrouve très sensible aux changements de température. Ni trop haute, ni trop basse. Ou alors ça finit par un alitement. Ce qui n'est pas franchement génial. Croyez-moi. » Un mot pour te décrire ? « Bastard, j'imagine. (*se cale contre son dossier avec désinvolture*) » Et physiquement, tu as des particularités ? « Hormis ma tignasse rousse naturellement de par mes origines d'Irlandais ? Hm, on peut dire que je ne suis pas trop mal gaulé avec mes épaules larges et mon torse finement dessiné. En y réfléchissant par deux fois, je dois bien avoisiner le mètre quatre-vingt-cinq. La natation, le basket, ça forge. Ensuite, je tiens essentiellement de mon côté maternel. Yeux bridés, marrons aux reflets de miel. Mouais, pas grand chose de particulier, en sois. » Quelqu'un te pousse sans dire pardon. Tu réagis comment ? « J'lui éclate ses dents. J'pense qu'il va passer un mauvais quart d'heure (*rire*). Non, blague à part, je serais bien tenter de lui rendre son geste, avec les mêmes marques de politesse, bien-sur. Bien-sur. » Si on te cherche, où peut-on te trouver dans le pensionnat ? « Hm, gardez le pour vous, mais le premier endroit où l'on risque de me trouver le plus facilement est encore la plage dite oubliée. La piscine intérieure arrive en seconde position. C'est surtout une bouée de secours par temps instable. Ou lorsque l'eau de la mer est à une température inadaptée pour mon épiderme sensible ... De quoi me faire croiser fréquemment le chemin de tous ces mordues de natation et autre joyeusetés, en somme. Mais je ne vais pas me plaindre, j'en suis un moi-même, après tout. » Tu as déjà touché à des substances illicites ou des armes ? « Les gars, j'ai dix-huit ans. J'ai eus mes baptêmes de louveteau, hein. Bien que pour les armes, j'avoue ne m'en être jamais servi. Toucher, oui, utiliser, non. Puis, tous ces machins là, que ce soit armes ou produits toxiques, c'est pas franchement dans mes habitudes. Ni ma tasse de thé, d'ailleurs. » Tu prêtes attention à ta famille, à tes proches ? « (...) Clairement, non. (...) Et certains trouvent à y redire. Je ne leur en veux pas, je sais et je comprend à quel point je peut paraitre détaché. Un parfait connard. Mais, ce n'est pas que je n'y prête aucune attention, non, je suis même plutôt observateur et protecteur - à ma manière. C'est juste que je n'aime guère le montrer. Ouais, voilà. J'aime pas déballer mes points faibles devant autrui. Point barre. Où est la saloperie là-dedans, dites-moi ? Ma famille, c'est autre chose, et ça ne vous concerne en rien. » Si tu devais faire un sacrifice, pour qui ou quoi serait-il ? « Joke ! (*soupir*) Sérieusement, j'en sais fichtrement rien. Et je ne pense pas en avoir grand chose à branler. J'suis pas si insensible qu'on pense et qu'on pourrait le croire. Ouais, je suis gaulé presque comme une armoire à glace ; et alors ? J'vois pas en quoi ça me rendrais moins humain. Puis, je n'aime pas trop me poser ce genre de question à la con. Parce que pour un être qui m'est très cher, et dans certaines circonstances, je pourrais bien en arriver à songer à y laisser la vie, s'il le faut. (...) Je vous le répète. Je suis humain. Un putain d'être humain futile et immonde de par sa nature. C'est comme ça, faut savoir faire avec. » De quel œil vois-tu cette histoire d'esprits et de détenteurs ? « J'aurais presque peur d'être censuré, là. (*rire*) Pour répondre de la façon la plus évasive qui soit ; je dirais que je ne vois pas toute cette affaire d'un très bon œil. Et c'est un doux euphémisme que voilà. Mais, je suis réaliste - et idéaliste, vous comprenez. » Eh bien, bienvenue à Hayasaki ! Un dernier mot avant de se quitter ? « T'arrive six-ans après la guerre, sweetheart. (*esquise un sourire narquois*) »

Pour finaliser votre fiche, il va falloir écrire l'histoire de votre personnage ici. Nous n'imposons aucun quota de lignes, mais nous demandons à ce que les évènements importants de sa vie y soient marqués (et sous forme de texte, pas de liste, of course). Certaines informations importantes telles que la manière dont il a connu les esprits ou la manifestation du sien pour les détenteurs sont nécessaires.
« ▬ Quoi, un croco ? Pff, tu t'es crue dans l'un de ces films d'horreur où les gugusses se font bouffer par un creachadóir de sept mètre de long ? Sérieusement, Chika, quand on se mange une compète le jour d'après, vaut-il pas mieux bien dormir la veille au soir ? Franchement, un croco ... et pourquoi par un alligator, aussi ! Un ange passât. »

Il ne me fallut qu'un sourire espiègle pour effacer tout trace d'une quelconque rage sur son petit minois. Après tout, j'étais le grand frère, intelligent et séduisant, celui qui ne se trompe pas. Et même si mes gestes étaient mal assurés, que mes paumes devenaient moites et que des soubresauts nouveaux me prenaient, je me devais de garder ce sourire à la fois confiant, rassuré et rassurant. J'étais le grand frère, oui. Et son doux visage enfantin n'avait de cesse de me le rappeler. Mais, qu'étais-je sensé faire, au juste ? Qu'étais-je sensé faire pour calmer mon petit frère de ses propres tremblements, de cette lueur affolée nichée au creux de ses iris dorées, de son appréhension la plus tordue ? Après tout, j'avais beau paraitre le meilleur grand frère du monde à ses yeux de gamins insouciants, je n'en restais pas moins un sale humains surfait, acteur et manipulateur par dessus le marché. Telles étaient ces atouts dont toute bonne idole se doit d'être pourvue. Ma main caressante, passée entre ses longues mèches farouches, me semblait alors bien fugace.