Nom. TSURARA.
Prénom(s). Kirijō.
Surnom(s). Lala, Ranran, Tsucchi, Tsuran. La liste est toujours ouverte à de nouvelles propositions, ceci dit.
Âge. Dix-neuf ans.
Sexe. Féminin.
Date&lieu de naissance. Née à Tokyo, au Japon; le 30 Décembre.
Nationalité. Japonaise, donc !
Origines. Japonaises.
Sexualité. Hétérosexuelle.
Groupe. Etudiants.
Rôle. Etudiante en année préparatoire.
Est ici depuis. Depuis ses 12 ans, elle aura donc passé toutes ses années à l'intérieur du pensionnat Hayasaki.
Feat. Shijō Takane.

Qualités&défauts Sympathique ; sociable ; ouverte d'esprit ; hospitalière ; originale ; compatissante ; sérieuse ; rigoureuse  | Peut se montrer envahissante pour certains ; extra sensible ; franchement franche ; secrète ; personnalité parfois changeante ; ...

Pseudo. Tsuran.
Âge. Dix-neuf ans.
Comment es-tu tombé là ?. Sur le Top Site Callista, je crois.
Suggestions ?. Franchement aucune, mais je n'hésiterais pas à en faire dans l'avenir, si une idée me vient à l'esprit. (:
Le code. OKAY PAR JURI

Comment as-tu connu Hayasaki ? « Durant l'enfance, j'ai été très protégée, dirigée et couvée par mes deux parents ; j'avais très peu de choix quant à mon avenir, tout était sous leur contrôle et je n'avais qu'à me contenter de suivre la route que l'on m'indiquait. Le cas du Pensionnant Hayasaki n'a pas échappé à cette règle, on m'a déposée là-d'dans et j'ai travaillé telle une fille exemplaire. Mais je crois savoir que l'internet, très utilisé par mon père, a fait connaître Hayasaki. Enfin, mes parents ont apprit son existence de cette manière. »

Et qu'en penses-tu ? « Oh, eh bien … C'est un endroit un peu spécial, mais il m'a permis d'en apprendre beaucoup sur moi-même, moi qui ne m'étais jamais trop posé de questions sur le monde qui m'entourait, sur qui j'étais, … Autrement, j'ai toujours trouvé le cadre très romantique, le pensionnat possédant une architecture ancienne. C'est très fleuri, et j'adore les fleurs. Yay ! »

Tu crois au paranormal ? « En atterrissant dans ce pensionnat, il faut se faire une raison : Nous ne vivons pas dans un monde purement scientifique. Des choses bien plus spirituelles ou abstraites, qu'on ne peut expliquer, se passent dans les alentours. Et, je doute d'ailleurs, que notre cher archipel soit le seul territoire concerné, il n'y a pas de raison ! »

Un fantôme apparaît devant toi. Que fais-tu ? « Je n'ai pas cette capacité de voir les esprits, mais je serais ravie d'en faire la rencontre. »

Tu avais un rêve en venant ici ? « Mon rêve était de vivre d'amour et d'eau fraîche, de fonder une très grande famille … Des choses très simples ! Quoi que pas si simples de nos jours. »

Et quel serait ton pire cauchemar ? « Ne pas pouvoir accomplir ce que je veux dans la vie ou bien qu'on raconte des mensonges à mon propos et que tout le monde y croit. C'est ridicule, mais je m'angoisse à l'idée qu'on ne croit pas en moi. »

Tu nous caches quelque chose non ? « J'ai mes petits secrets, oui, comme beaucoup de personnes. »

Tu possèdes un esprit ? Et si oui, dis-nous en plus ! « Non, du tout. J'adorerais ceci dit. Si j'en avais un, ça serait un animal adorable, comme un ourson ! »

Un mot pour te décrire ? « YAY ! … J'utilise souvent ce mot. Est-ce un mot ? »

Et physiquement, tu as des particularités ? « Absolument pas, tout est naturel sur moi. Héhé, je plaisante, bien sûr ! Je me considère faisant partie du 'mouvement' hime gyaru. Il s'agit d'une mode nippone donnant une allure de princesse aux jeunes femmes. Tout est dans la féminité, la finesse, … Il faut se mettre dans la peau d'une poupée occidentale, quoi ! Il y a maintenant deux ans que j'ai commencé cette transformation, j'étais très 'normale' avant cela, montrant tout de même une part de coquetterie. Et puis, j'ai décidé de me dévoiler à travers un style. Beaucoup de gens pensent que j'ai aussi modifié la taille de mon nez, en subissant une opération de chirurgie esthétique éventuellement, mais j'ai toujours eu un nez proéminent. C'est naturel.»

Quelqu'un te pousse sans dire pardon. Tu réagis comment ? « Ça arrive tous les jours ici, alors il n'y a pas de quoi en faire un fromage. »

Si on te cherche, où peut-on te trouver dans le pensionnat ? « Je suis constamment en extérieure, même dans le froid de l'Hiver, je suis dehors. Mon conseil serait donc de chercher d'abord dans la cour, ou qu'importe l'endroit extérieur. »

Tu as déjà touché à des substances illicites ou des armes ? Tsurara, se balance nerveusement vers le dossier de sa chaise, démontrant un sentiment d'absurdité. - « D'accord ! Ai-je l'air de faire ce genre de choses ? Je suis aussi droite que la Justice, même une goutte d'alcool à faible degrés ne me tenterait jamais. »

Tu prêtes attention à ta famille, à tes proches ? « Comme si j'avais le choix. Mes parents sont mes gardiens, ceux qui décident de ma vie, jusqu'à la majorité je ne pourrais les ignorer. Mes proches, mes amis, ceci dit, je prends soin d'eux comme mes propres enfants. C'est dans ma nature, je materne, je couve, j'écoute, je conseil, … »

Si tu devais faire un sacrifice, pour qui ou quoi serait-il ? « Je ferais beaucoup pour mes amis. Peu importe le sacrifice. » Un long moment de réflexion est nécessaire à l'étudiante. « Pour m'améliorer également, je suis prête à me donner à fond. L'éducation, selon moi, est importante, alors à l'école, je donne de mon mieux. C'est une sorte de sacrifice, je suppose. »

De quel œil vois-tu cette histoire d'esprits et de détenteurs ? « Je prends énormément part à cette sorte de lutte. Je n'adhère à aucune insulte envers un détenteur, ni même envers un esprit. Je serais toujours du côté de ces personnes. S'il y a moyen d'aider, de se lever pour changer les mentalités, je le fais; toujours. Malheureusement, on peut se faire beaucoup d'ennemis, en tant qu'humain sans esprit, si l'on se mêle aux détenteurs ou bien si l'on essaie de les intégrer parmi nous. Personnellement, je préfère me faire des amis chez les détenteurs et faire justice, quitte à éviter de faire la connaissance d'idiots fermés d'esprit - et c'est le cas de le dire.
J'ai horreur du conflit, mais vivre ici durant toutes ces années m'a fait comprendre qu'il fallait forcer un peu les choses, parfois. »

Eh bien, bienvenue à Hayasaki ! Un dernier mot avant de se quitter ? « Merci à vous, au plaisir de vous revoir. » Kirijou vous adresse un sourire courtois.