|
| Toi, moi, des sodas tièdes et une multiprise ▲ Libre | |
|
admin pedobear aux petits papiers mes infos
| a écrit ce message le : Sam 16 Mar - 15:50 | | Juri déroulait la rallonge dans les herbes folles, le plus discrètement possible. Un œil extérieur pourrait bien se demander ce qu'est en train de faire la jeune fille dans le terrain vague à l'arrière de l'internat, au beau milieu de l'après midi. N'est elle pas censée être en cours ? N'est elle pas censée ne pas avoir le droit d'être ici ? N'était elle pas censée faire n'importe quoi, sauf ce qu'elle est actuellement en train de faire ? Voilà exactement ce qu'un œil extérieur pourrait se demander – car oui, les yeux pensent c'est bien connu. Mais un œil expérimenté, lui, ne douterait pas une seconde de ses intentions. Surtout si cet œil connaît un tant soi un peu la demoiselle accroupie dans le champ, cachée du personnel par la hauteur des plantes. Elle était en train de positionner une rallonge, c'était évident, car sans électricité pas de lumière ou de musique. De lumière ou de musique pour quoi ? Mais pour la fête de ce soir bien sûr. La blonde ne se redressa qu'une fois à l'abri des regards dans le sous-bois. Olala, son dos. Elle s'étira longuement, faisant craquer quelques vertèbres, avant de reprendre son rouleau de fil électrique plastifié et continuer sa tâche. C'était toujours compliqué d'organiser des soirées à Hayasaki, d'autant plus que c'était totalement illégal, mais franchement elle aurait pas cru que se charger de l'électricité serait aussi crevant ! Elle laissait cette tâche à d'autre habituellement, lui préférant celle de récolter nourritures et boissons dans les cuisines de l'école. Seulement voilà, à force de se faire chopper la main dans le sac elle s'était faite interdire de cuisine et les surveillants redoublaient d'intensité dans ce secteur là. Du coup Juri avait échangé son rôle avec un ami plus discret qu'elle – pas bien dur à trouver – et devait du coup se coltiner sa corvée à sa place. Intérieurement elle se jura, un peu tard, qu'on ne l'y prendrait plus. Après avoir longtemps galéré et s'être pris les pieds dans de nombreuses racines et autres mauvaises herbes, la jeune fille finit par arriver à destination. Devant elle s'étendait le bâtiment délabré du temple abandonné. Les tapis couvrant habituellement le sol avait été entassés dans un coin – ça ferait un très bon sofa improvisé – et une partie du matériel était déjà installé. Juri brancha sa rallonge à la multiprise qui l'attendait là, allumant d'un seul coup tous les projecteurs empruntés dans le local pour l'occasion et faisant s'envoler une nuée d'oiseaux effrayés. En jurant en français, la blonde s'empressa de vite les éteindre et s'assura que la sono n'était pas allumée, elle, avant de la brancher à son tour. Une bonne chose de faite. Il restait encore beaucoup de travail, comme monter sur des rochers des tables bancales et disposer les quelques caisses de boissons déjà arrivées. Mais avant tout, une pause s'imposait. S'attrapant un soda tiède, Juri alla s'asseoir sur les marches à l'entrée du temple et souffla un bon coup. Elle était sur le point de se détendre totalement quand une branche craqua, lui faisant lever la tête.
|
| |
mes infos
| a écrit ce message le : Jeu 21 Mar - 16:41 | | — Merci, tu peux retourner en cours.
Plaisir. Le plaisir d'avoir des espions infiltrés dans le pensionnat sans même que personne ne le sache. Un plaisir qui s'avère donné le sourire à la surveillante prête à sortir ses griffes. Il faisait un temps idéal, et pour le coup, Abigail avait encore sorti la tenue complète d'une femme non complexée, fière de ses formes ainsi que de ses atouts féminins. Chevelure relâchée, c'est en claquant ses talons contre le sol qu'elle traversait les couloirs, l'air de rien, mais juste à en voir l'expression imprimée sur son visage, beaucoup savaient qu'il fallait se cacher du mieux qu'on pouvait. Pire encore, ne pas croiser son chemin. Les mains derrière le dos, c'est en fredonnant une mélodie qu'elle arriva enfin devant le territoire où se trouvait sa fameuse proie. Juri Leroy, sexe féminin malgré son manque de poitrine contre nature. Accroupie au sol, derrière les hautes herbes, elle observait la môme faire son bric-à-brac. Elle savait ce qu'elle préparait, oh oui.
Avançant légèrement, et aussi, en toute discrétion, la fameuse branche qui était bloquée derrière son talon éclata sous le poids de la jouvencelle ayant fait à la suite une grimace peu plaisante. Elle s'était fait prendre, et quelle idée de porter des talons dans ces circonstances, aussi. Elle se leva d'un coup, les cheveux en pagaille avec les branches plantées dedans, la chemise noire légèrement déboutonnée et salie qu'elle frotta tout en ricanant.
— OHOHOH ! Juri Leroy, je t'annonce que dorénavant, tu es dans la merde !
Dit-elle dans le feu de l'action, les mains sur les hanches.
|
| |
admin pedobear aux petits papiers mes infos
| a écrit ce message le : Ven 22 Mar - 12:07 | | Au moment où elle prononçait cette phrase fort clichée digne d'un mauvais film d'horreur, Juri vit surgir des buissons une Abigail toute débraillée. Ses cheveux blonds habituellement bien coiffés étaient plein de branchages en tous genre, sa chemise entrouverte – ce qui était loin de la gênée – et son équilibre précaire vu les talons sur lesquels elle était plantée. Le tout était tellement déplacé dans ce décor sauvage et perdu que même son exclamation tomba à l'eau. - OHOHOH ! Juri Leroy, je t'annonce que dorénavant, tu es dans la merde ! Juri la fixa un moment encore, éberluée, avant de partir dans un monstrueux fou rire. C'était trop ridicule pour être vrai. On aurait dit qu'elle se prenait pour Jessy de la Team Rocket ou un truc du genre, elle ne pouvait pas vraiment penser qu'elle la prendrait au sérieux si ? Quand elle eut terminé de se tenir les côtes elle avait renversé la moitié de son soda par terre et sur sa propre main, la rendant pégueuse à souhaits. Mais c'était pas grande, il en restait plusieurs cartons et la situation était trop comique pour se retenir. Abigail était toujours là, les mains fermement plantées sur ses hanches, les jambes écartées et l'air fier. - Pardon, c'était un rire nerveux, parce que tu comprends : je suis tellement effrayée ! Que vas-tu bien pouvoir me faire subir ! Elle la détailla une nouvelle fois de la tête aux pieds, s'immobilisant avec un sourire narquois sur les chaussures impossibles qu'elle portait. Juri se décala un peu sur la marche où elle était assise, tapotant la place à côté d'elle. - Allez, viens t'asseoir princesse, tu n'es décidément pas équipée pour crapahuter en pleine jungle. Elle-même portait sa paire de baskets de ville habituelle, totalement défoncée à force d'usage, mais encore assez solide pour une bonne année de fêtes sauvages. - Où comptais-tu aller avec ça ? Tu as eu de la chance de pas te fouler une cheville.
|
| |
mes infos
| a écrit ce message le : Ven 22 Mar - 15:07 | | Les talons, peu à peu, s'enfonçaient dans la terre encore fraîchement humide. L'air de rien, elle continuait à sourire bêtement, c'était d'un ridicule que d'un certain point, on pouvait comprendre pourquoi Juri riait autant. Fronçant les sourcils, à présent vexée, elle s'approcha encore, enfonçant ses belles chaussures neuves un peu plus.
— Ce que je te ferais subir ? Je dirais... te virer de l'établissement ? Comme tu peux le voir, nous sommes seules, ici. Il ne serait pas difficile d’exagérer la situation à mon avantage devant le directeur ainsi que tes parents pour te ruiner...
Et fit un sourire narquois, narguant la gamine alors qu'elle continuait à être fière de sa connerie. Longeant les branches, Abigail fit une grimace avant de manquer de tomber, s'approchant de plus en plus de son interlocutrice.
— ... mais ça ne me rapportera rien de faire ça.
Et escalada les hautes herbes afin de venir s’asseoir jusqu'à même venir s'appuyer sur la tête de la blonde pour ne pas tomber. Arrachant les branches de ses cheveux, elle se recoiffa quelque temps et revint sur la petite discussion.
— Un de tes camarades t'a balancé, dommage pour toi. Maintenant que je t'ai, je te garde.
Dit-elle tout en regardant devant elle, attrapant ses cheveux pour en faire une queue-de-cheval, clope au bec.
|
| |
admin pedobear aux petits papiers mes infos
| a écrit ce message le : Ven 22 Mar - 15:50 | | Abigail tentait tant bien que mal d'avancer vers elle, sans totalement ruiner sa paire de chaussures déjà bien amochée. Amusée, Juri ne dit rien se contentant de caler son menton dans le creux de sa paume et de la regarder faire. C'était comme si elle marchait dans des sables mouvants ou dans un marécage infesté de crocodiles, c'était assez rigolo. En même temps qu'elle approchait, la surveillante monologuait dans le vide sans même voir le regard rieur de l'élève. C'était sans doute mieux ainsi. - Ce que je te ferais subir ? Je dirais... te virer de l'établissement ? Petit pas à gauche. - Comme tu peux le voir, nous sommes seules, ici. Petit pas à droite. - Il ne serait pas difficile d’exagérer la situation à mon avantage devant le directeur ainsi que tes parents pour te ruiner... Abi sourit alors Juri sourit aussi, toutes deux bien souriantes. Puis elle continua d'avancer, se tenant à ce qui lui passait sous la main – branches, troncs, sol, tête de Juri. - ... mais ça ne me rapportera rien de faire ça. Elle était enfin assise. Sans rien dire, la française la regarda se recoiffer, jetant un œil désinvolte à son décolleté offert à la vue de tous. Elle devrait fermer cette chemise, c'était fabuleusement indécent. Juri remonta son regard jusqu'aux yeux verts d'Abi. - Sachant que les trois quarts des jeunes ici ne rêvent que de se faire virer pour rentrer chez eux, je pense pas que tu me fasses renvoyer aussi facilement. Mais c'est dommage, j'aurais payé cher pour le voir ce fameux directeur et ces fameux « adultes » que personne n'a jamais vu. Le tout sans décoller le menton de sa main. Pendant ce temps, la jeune femme continuait sur sa lancée : - Un de tes camarades t'a balancé, dommage pour toi. Maintenant que je t'ai, je te garde. Au tour de Juri de sourire et d'un sourire des plus charmants. Se redressant, elle pencha un peu la tête sur le côté – laissant cascader sa chevelure – et jaugea Abi sans cesser de sourire. - Oui, tu as raison, tu m'as. Et elle s'allongea sur les genoux de la surveillante, toujours souriante, le ventre et la gorge totalement offerts. Elle tendit la main et kidnappa la clope qui pendait entre ses lèvres, jouant machinalement avec. - Et que comptes-tu faire de la délinquante que je suis ?
|
| |
mes infos
| a écrit ce message le : Ven 22 Mar - 16:17 | | Les menaces ne l’atteignirent point. Dommage, elle aurait pu en jouer, comme elle le faisait avec les autres élèves, oui, c'était vraiment dommage. Mettant de côté cet échec, elle encaissa pour finalement retourner son attention sur la demoiselle. Elle s'avança vers elle jusqu'à s'allonger sur ses genoux, le visage toujours aussi souriant, attrapant par la même occasion la cigarette pour la faire balader entre ses doigts fins. Elle pouvait faire preuve d'arrogance en jouant le jeu de la victime consentante.
— C'est vrai, que faire d'une fille comme toi.
Le regard ancré dans le sien, se mordant la lèvre inférieure, laissant jouer ainsi la môme avant de reprendre la cigarette à l'aide de ses dents. Perçant ainsi la bille de menthe, elle l'alluma d'une main et tira quelques lattes sans pour autant la tenir. Elle détacha enfin son regard du sien, cherchant un autre plan, car oui, l'enfant ne lui était de plus aucune utilité.
— Je pensais que tu serais plus intéressante que ça, il faudrait que je me renseigne davantage à l'avenir.
Car oui, Abigail, son bon plaisir, c'était de savoir tout, les gamineries n'étaient plus à son goût. Coinçant la cigarette entre son index et son majeur, elle continua d'expirer la fumée dans le silence.
— Dans tous les cas, tu vas devoir annuler ta petite soirée chérie. La prochaine fois, fais ça plus discrètement.
Cependant elle resta immobile, en même temps elle n'avait rien à foutre à cette heure-ci, son collègue était déjà dans l'enceinte de l'établissement pour surveiller, pas besoin d'elle.
|
| |
admin pedobear aux petits papiers mes infos
| a écrit ce message le : Lun 25 Mar - 13:09 | | - C'est vrai, que faire d'une fille comme toi. Telle est la question. Rien sans doute ? Après tout, qu'est ce qu'on pouvait bien faire d'une Juri Leroy ? À part se tricoter un pull avec ses cheveux, pas grand chose. On pouvait aussi utiliser son sang pour transfuser un hémorragique ou utiliser ses organes pour sauver des petits cancéreux. En faut, son corps entier pouvait servir de matière première à différents actes bénéfiques, mais la jeune fille en elle-même ne servait à pas grand chose. Sauf peut être à faire rire les gens, à organiser des fêtes, repeindre le buste du directeur en fushia ou donner le goût du péché aux jeunes japonaises. Mais à une surveillante, là alors, elle servait à strictement rien. Abigail se pencha et avant et reprit sa cigarette du bout des dents, sans détacher son regard du sien. Elle en tous cas, elle était pas japonaise du coup. Que ce soit son physique, son comportement – absolument et totalement contraire à l'étique nippone – ou juste son accent quand elle parlait en japonais. Enfin, elle était mal placé pour se plaindre, elle aussi avait un accent, mais moins épouvantable que le sien grâce à sa maman. Et puis elle était un peu plus consciente des bonnes mœurs. Juste un peu. Tout petit peu. En fait la seule différence était qu'elle portait pas de talons de 15 cm ni de décolleté plongeant. Mais bon, pour le décolleté, c'était pas sa faute. - Je pensais que tu serais plus intéressante que ça, il faudrait que je me renseigne davantage à l'avenir. Juri leva un sourcil circonspect avant de laisser échapper un bref éclat de rire. - Mais voyons, tu devrais savoir que je suis l’intérêt même. De nombreux chercheurs m'ont même pris en sujet d'étude, avec comme thèse la question suivante « Qu'est ce qui nous fascine tant chez Juri Leroy ? ». La surveillante lui souffla sa fumée au visage. L'élève arracha un long brin d'herbe et commença à jouer avec. - Dans tous les cas, tu vas devoir annuler ta petite soirée chérie. La prochaine fois, fais ça plus discrètement. - Aw, comment peux-tu me faire ça princesse ? Tu veux que je meurs d'ennui ! Elle continua de jouer avec son brin d'herbe, chatouillant le menton d'Abi avec. - Je sais pas comment vous faites, les surveillants, pour supporter de rester cloîtrer ici. Ou du moins sans profiter des fêtes clandestines des étudiants. Enfin, je suppose qu'il doit y avoir certains avantages ici, comme profiter des produits confisqués. À tous les coups vous avez une espèce de réserve secrète pleine d'alcool, de clopes et d'herbes et vous puisez dedans quand vous voulez faire une petite sauterie entre vous. Juri avait toujours eu tendance à beaucoup parler, du coup les monologues ne l'effrayaient pas non plus. - Et puis d'abord, c'était pas ma soirée. J'étais que la chargée d'électricité.
|
| |
mes infos
| a écrit ce message le : Jeu 28 Mar - 0:25 | | Elle était plutôt emmerdante, comme fillette. Plate, aucune forme gracieuse. Elle avait seulement de magnifiques traits fins, un joli visage d'après la surveillante qui observait la cadette encore et encore. Si celle-ci aurait été un garçon, elle aurait fait des malheureuses. Enfin, c'est dans ses pensées qu'Abigail était plongée, n'écoutant plus que son esprit rêveur et trop fatigué pour se concentrer un maximum de deux minutes. Le regard posé sur les horizons, elle était là, assise en supportant le poids d'une crevette qui devait mesurer 1mètre50 les bras levés. Elle ne répondait pas, enfin, jusqu'à la dernière phrase qu'elle cita. D'un coup elle écarquilla doucement les yeux, et baissa la tête. D'un coup vif et sans prévenir, ses lèvres se retrouvèrent sur celles de l'enfant avant de se retirer immédiatement.
— Dis-moi qui c'est ma jolie ! Et.. je te laisse tranquille.
Oui, non, faut pas chercher, Abigail s'exprimait souvent d'une manière peu commune, mais bon. Elle venait de balancer sa cigarette après avoir atteint la marque, et serra immédiatement les mains de la jouvencelle, on pouvait voir des étoiles dans les yeux de la surveillante. En fait, elle était beaucoup plus intéressée qu'elle n'y paressait. Et encore.
— Tu sais, si tu ne me dis rien, je trouverais, coûte que coûte.
Fourbe, manipulatrice, sadique. Ouais, Abigail se prenait au jeu.
|
| |
admin pedobear aux petits papiers mes infos
| a écrit ce message le : Mar 2 Avr - 20:53 | | - Et puis d'abord, c'était pas ma soirée. J'étais que la chargée d'électricité. Ce devait être un espèce de mot magique car, la seconde qui suivit, la bouche d'Abigail était posée sur la sienne. Juri écarquilla brièvement les yeux, surprise, avant de juste savourer ce contact inattendu mais néanmoins agréable. Faut pas déconner, elle allait pas la repousser non plus. Quand elle se redressa, la surveillante lui saisit les mains et la fixa d'un regard passionné. La française était sérieusement en train de penser qu'elle était sous l'emprise d'un maléfice, d'une potion d'amour, d'une saute d'hormones ou d'une simple caméra cachée quand elle se décida à reprendre la parole. - Dis-moi qui c'est ma jolie ! Et.. je te laisse tranquille. Une nouvelle fois Juri la fixa sans rien dire... avant de se rallonger un sourire narquois aux lèvres. C'était donc ça. - Tu sais, si tu ne me dis rien, je trouverais, coûte que coûte. Le sourire de Juri s'élargit davantage. Abi semblait avoir un besoin maladif de connaître l'organisateur de cette petite sauterie. Allez savoir pourquoi. Mais la jeune fille trouvait cela assez intéressant. - Donc si j'ai bien compris, tu veux connaître l'identité de la personne qui organise la fête de ce soir. Et si je ne te donne pas cette information tu « ne me laisses pas tranquille ». Mais d'un autre côté, tu viens de me sauter dessus et m'embrasser soudainement pour... me soudoyer peut être ? Vous n'êtes vraiment pas claire dans vos actes, mademoiselle McDonald. Fermant les yeux, elle croisa les bras derrière sa tête avec désinvolture. - Mes lèvres resteront closes. À moins qu'un baiser ne vienne les entre-bâiller ? Qui sait, je suis si facilement influençable...
|
| |
mes infos
| a écrit ce message le : Mer 10 Avr - 19:33 | | Abigail pouvait être une surveillante adorable, comme emmerdante. En résumé, une petite soirée entre élèves était prévue le soir même. Elle aurait pu s'y incruster pour se saouler la gueule, mais que nenni. Elle voulait les faire chier, c'était son passe-temps, puisque visiblement elle n'avait rien d'autre à foutre.
— Tu ne balancerais pas tes copains.
Elle pencha la tête, et sourit. La gamine était du genre joueuse, Abigail n'allait pas se mettre à quatre pattes si ce n'est pour n'avoir aucun résultat de sa part. Elle se leva simplement, bougeant l'enfant de ses jambes brusquement, et l'observa d'en haut.
— Salut.
Fit-elle avant de monter les marches, faisant signe de la main. Décidément elle n'allait pas abandonner la partie, elle allait donc faire son enquête de son côté.
— Ne t'en fais pas, je vais bien m'amuser.
Puis lâcha un rire machiavélique avant de disparaître.
|
| |
mes infos
| | | | Toi, moi, des sodas tièdes et une multiprise ▲ Libre | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|