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 HIMAWARI « hear the whispering of the wind, in the solitude of the night »

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a écrit ce message le : Dim 10 Mar - 18:20
Himawari Watanabe




IDENTITY

« Il y a certainement quelqu'un qui m'a tué et s'en est allé sur la pointe des pieds. »

Nom. Watanabe, le nom de mon humble famille d'humain sans particularité.
Prénom(s). Himawari, c'est un nom so cuuuute, ne ne ?
Surnom(s). Demandez à Hisae, elle vous sortira une liste. ♥
Âge. Quinze ans de rêves inaccomplis.
Sexe. Entre la gamine et la femme.
Date&lieu de naissance. Née le quatorze février dans un hôpital random à Osaka.
Nationalité. Japonaise, parce que je gère.
Origines. Originaire du japon, je suis japonaise depuis ma tendre enfance, avec des parents purement japonais.
Sexualité. Hétérosexuelle à tendance bisexuelle, parce que je le vaux bien.
Groupe. Je suis une pauvre étudiante sans défense : oh mon dieu des chats serial killers.
Rôle. Simple étudiante qui sert à rien.
Est ici depuis. Un an maintenant.
Feat. Ib (Eve) - Ib
DERRIÈRE L’ÉCRAN

Pseudo. Himawari ça vous suffira très bien. ♥
Âge. Puh, t'auras qu'à deviner.
Comment es-tu tombé là ?. Je regardais un top-site pour voter sur un autre forum, et puis "Dernier forum inscrit", oh un zoulie bouton de parto *click*.
Suggestions ?. Nononono. Votre forum il est beau, votre forum il est classe, votre forum il est sooo cute. Comme mon prénom.
Le code. VALIDÉ PAR HISA'

TELL ME I'M NOT A LIE

Et la jaune tu la brûlas, et la bleue tu l'embrassas.
Dans ce vaste monde incompris qu'est celui de l'imagination elle continuait d'avancer. Ce cri strident, ce cri atrophié, ce cri sublime qu'est le cri de la rose jaune qu'elle brûlait. Ce cri strident, ce cri atrophié, ce cri apeuré qu'est le cri de la rose bleue qu'elle embrassait. Ce cri strident, ce cri atrophié, ce cri éphémère qu'est le cri des mannequins rouges, des bleus et des jaunes, des peintures aux femmes multicolores. Ces cris éternels qui retentissait dans sa tête, sans arrêt. Cette boîte à musique qui ne s'arrêtait pas, cette boîte à musique qui continuait de lire ses notes, sans arrêt ; cette boîte à musique qui n'avait jamais besoin qu'on la remette en marche, cette boîte à musique qui faisait la seule mélodie que Himawari ne put jamais entendre. Cette seule, et unique mélodie, dans ce monde imaginaire qui retentirait pour l'éternité dans sa tête. Dans ce monde imaginaire où, une fois arrivé à la toute fin, elle ne se souviendra plus de rien et ce rêve recommencera, encore, encore.

Jamais Himawari ne connaîtra ce que l'on appelle le bonheur. Ce rêve tel un mauvais film continuera d'être diffusé dans son esprit jusqu'à la toute fin de sa pitoyable existence. Ce rêve où parmi toutes les fins possibles il n'y en a qu'une d'heureuse. Cette seule fin ne suffit pas. Himawari ferra toujours les même erreurs que la première fois, ne se souvenant jamais de la fin de ce rêve. Elle continuera de chuter encore et encore dans les mêmes pièges, les mêmes chemins, les mêmes cauchemars. Elle est perpétuellement entrain de jouer avec son esprit, de terminer ce labyrinthe. Et, à l'approche de la fin, de cette fin heureuse tant attendue, elle succombera à Morphée et ne se réveillera que bien plus tard.

Elle ne sera pas impressionnée par des mutants tels que vous. Dans ces cinq ans d'emprisonnements dans ce rêve éternel, jouant sans cesse avec son âme, son esprit et sa raison, elle n'a plus de quoi être effrayée par vous. Elle est une simple étudiante parmi tant d'autres, une étudiante qui s'amuse, pleure, rigole ; danse, joue, chantonne ; étudie, travaille, réussit. Et pourtant, derrière ses apparences de jeune fille brune amatrice de rose rouge, bleue et jaune, se cache une jeune fille piégée dans un enfer et contrainte à jouer jusqu'au bout.

En fonction de son avancement dans cet enfer, ses expressions, ses émotions, changent.

Dans votre champ de vision, une jeune fille souriante dans les jardins entrain de sentir paisiblement les roses jaunes, signe d'infidélité, et vous tournez le regard et le reposez sur cette jeune fille, en contemplant l'horreur qu'elle est entrain d'accomplir. Brûler la rose fraîchement arrachée avec une expression de plaisir et de haine, d'incompréhension et d'appréhension.

Dans votre champ de vision, une jeune fille souriante dans les jardins entrain de sentir paisiblement les roses bleues artificielles, signe d'amour impossible, et vous tournez le regard et le reposez sur cette jeune fille, en contemplant l'acte qu'elle est entrain d'accomplir. Offrir son entité même à la rose, avec une expression apeurée, abattue, et des larmes aux yeux.

Personne ne comprend ce qui peut lui passer par la tête, pas même elle-même.

AND LISTEN TO MY STORY

Et la rouge tu la perdras, et de la perte tu agoniseras.
Fuis ... Fuis ... Fuis ... Fuis !!
Elle n'avait que ce verbe à la bouche, le verbe "fuir". Dans ses yeux apeurés on pouvait y voir le désespoir, dans ses yeux apeurés on pouvait y voir de l'affolement. De légères gouttes d'eau coulèrent sur ses joues, ses pupilles étaient rétractées, on pouvait voir toute l'horreur qu'elle endurait dans ses yeux. Elle qui était assise sur sa chaise, elle qui est toujours assise sur sa chaise, elle qui pleure sans raison, elle qui affole la classe, elle qui fit perdre l'autorité du professeur le temps d'un cours. L'élève en charge se dépêcha d'amener Himawari à l'infirmerie après avoir vu son corps totalement paralysée par la peur avec l'impossibilité de fermer les yeux. Elle était figée, entrain de pleurer, devant eux, et sans aucune raison.

Sans prononcer un mot, sans fermer cette bouche légèrement ouverte de stupeur, elle se fit traîner jusqu'à l'infirmerie en pouvant à peine avancer correctement. L'élève ne savant pas quoi faire ne fit que l'allonger sur un des nombreux lits de l'infirmerie et attendit à son chevet jusqu'à ce qu'elle s'endorme avant de repartir en cours. Peu à peu, ses larmes avaient cessé de couler et ses yeux étaient redevenus normaux. Quand ses yeux et sa bouche se fermèrent le temps d'un cours instant, l'élève tourna le dos et se mit rapidement en route vers sa salle de classe.

Mais soudain, il fut plaqué au sol, le ventre à terre. Une silhouette rouge s'assit sur son dos pour l'immobiliser et commençait à tordre son bras. Des cris de douleur inaudibles, bloqués par la main de la silhouette. Un douleur incomprise, "pourquoi ? qu'ai-je fait ?", des mots inutiles. Un passage douloureux. Un sourire digne de la cruauté d'un requin, des yeux rouges luminescents, de la folie à l'état pur, il n'y avait plus qu'un désir de meurtre dans la force utilisée pour tordre son bras jusqu'au fracas. Mais cette force, peu à peu, s'en alla. ses doigts relâchèrent l'emprise qu'ils avaient pour se laisser tomber sur le sol, vidés de toute forme de force. Le corps de l'attaquant suivit de près ses doigts et tomba raide mort sur le dos de l'élève encore sous le choc.

L'élève, dans la douleur de son bras à moitié fracassé, regarda tordu de douleur ce corps qui l'attaqua. Il ne put voir clairement que des cheveux bruns et un manche de veste blanche, mais c'était suffisant pour comprendre qui était la personne désormais avachi sur son dos. Il peina à se relever, en poussant ce corps inanimé à côté de lui. La personne piégée dans ce corps frêle était bien la fille qui pleurait sans raisons plus tôt, elle était bien la fille qu'il avait emmené à l'infirmerie pour qu'elle ait du repos. Il ne pouvait laisser cette fille dans ce couloir, bien qu'elle ait essayé plus tôt de lui fracasser son bras et peut-être plus encore. Son bras encore douloureux, la porter aurait été une solution à éviter, cependant il ne voyait aucun autre moyen de la transporter, à moins d'appeler un professeur ou un élève. Mais qui sait ce que celui-ci pourrait croire ; pourquoi la jeune Himawari était-elle à terre, pourquoi son bras lui évoquait-il la douleur ?

Bien qu'apeuré par la jeune fille, il se devait de remonter jusqu'à l'infirmerie avec ce corps endormit, quoi qu'il devait arriver. Et, à ce moment, libéré, il pourrait enfin aller souffler pour tout expliquer, ou tout garder fermement caché.

Himawari dormait paisiblement en apparence sur ce lit d'infirmerie, et ce jusqu'à la fin des cours. À son réveil, les derniers membres des clubs commençaient à rentrer cher eux. Elle regardait le ciel orangée par la fenêtre de l'infirmerie et ne put s'empêcher de pleurer à chaude larmes ce jour funeste où sa vie a basculé. Il y a deux ans maintenant, soit aux alentours de ses dix années d'existence achevées, elle qui ne faisait que se balader dans un petit village sans grand danger glissa du rebord de la colline où reposait un grand manoir pour atterrir sur le parterre de rose rouge d'une vieille femme à l'approche de la mort. Le ciel était de la même couleur que le ciel d'aujourd'hui, le ciel était de cette même couleur orangée, le ciel avait perdu sa couleur bleutée.

Depuis ce jour, de manière inexpliquée, les roses rouges étaient devenu toute sa vie. Dans son esprit un mauvais rêve se diffusait continuellement. Ce mauvais rêve, jamais elle ne s'en souvenait. Ce n'était qu'un rêve comme un autre qu'elle voyait en étant éveillée, ce n'était qu'un rêve comme un autre qu'elle vivait dans la réalité, ce n'était qu'un rêve comme un autre où elle ressentait les émotions de celui-ci comme-ci elle était un acteur principal ; ce n'était qu'un rêve comme un autre que nous humains appelons communément "cauchemar".

Toutes ses espérances, tous ses idéaux de vie, tous ses rêves sont partis comme la poussière soufflée par le vent. Il ne lui restait plus que ce cauchemar éternel dans sa vie, où elle était obligée d'y jouer à l'infini.

Après ce funeste souvenir où tout à commencé, notre protagoniste ne pouvait que sortir de l'école rejoindre sa maison aux parents altruistes. Les premiers lampadaires commençaient à s'allumer en vue du déclin rapide du soleil. Ces ruelles japonaises le soir, des ruelles que l'on voit souvent. Des choses louches comme totalement normales se passent dans ses ruelles. Dans notre cas, rien d’exceptionnel. Une simple jeune fille de douze ans marchant tête baissée dans une ruelle mal éclairée. Une fois arrivée chez elle, Himawari ne faisait que manger pour partir directement se coucher. Il est bien plus simple de vivre ce cauchemar en étant endormie que de le vivre en était réveillée.

Mais une fois totalement endormie, ses parents qui avaient eu vent du scandale causé à l'élève de précédemment étaient désolées de ce faxe où était affichée l'exclusion définitive de leur fille. Pour si peu jamais on le l'aurait exclu définitivement, mais pour la sixième fois que cet acte se répétait avec une victime différente, l'administration ne pouvait plus gérer les parents agressifs. Aux grands mots, les grands moyens : exclusion définitive. Himawari ne sut ça que le lendemain matin, et finalement ce n'était pas plus mal. Elle resta cloîtré dans sa maison deux ans avant de rejoindre Hayasaki.

Cette décision fut prise très vite. Ils n'avaient aucunes intentions au départ de l'inscrire à cet internat, et encore moins à ce projet douteux. Ils auraient simplement pu l'inscrire à un lycée tout à fait normal et dans leur région. Bien que l'état mental de Himawari s'était stabilisé après deux ans d'enfermement, il lui fallait une éducation digne de ce nom. Dans cet internat suspect reposait des êtres aux dons intéressants et à la capacité de se transformer en l'animal que leurs esprits incarnaient. Dans cet internat suspect reposait des humains sans capacités tels que notre chère Himawari. Dans cet internat suspect reposait des personnes capables de lutter et vaincre la folie de cette dernière. Plutôt que de s'attirer les foudres des lycées normaux, s'attirer les foudres d'un internat des plus étranges était préférables à leurs sens. Leur choix était le meilleur. Laisser en internat l'enfant qu'ils ont mis au monde pour la retrouver, ils l'espéraient, libérée de toute folie mentale qui gâcha quatre ans de sa terrible enfance.

Himawari ne s'opposa pas à cette décision. Simplement entendre le nom de jardin être prononcé des lèvres de ses parents lui fuit acquiescer immédiatement et certainement contre sa volonté. Ce cauchemar dont elle est victime a pour sujet centrale les roses aux couleurs primaires. Finalement, jamais Himawari n'a apprécié les roses. Ces roses fatidiques qui l'ont plongés dans ce cauchemar éternel. Elle est naturellement attirée par les roses, mais ne les a jamais aimées.

Et désormais, elle vit dans un internat aux jardins resplendissant de couleurs vives et chaleureuses, entourée de toute sorte de personnes pouvant se transformer d'un moment à l'autre.


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Hisae Nakamura

Hisae Nakamura

fonda. « black cat is watching you »
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Féminin Murmures : 393
Nous a rejoint le : 19/02/2013
Prestige : 82
Âge du perso' : 17 ans
Classe spirituelle : Détentrice
Alter ego : un chat de gouttière noir, Caeliste.
Métier/rôle : Simple étudiante en cinquième année.
Logement : chambre 07, box 1.
Avatar : Rin Kagamine (voca)
Relationship : Hide & seek (en reconstruction BOUH).
Présentation : Ashes & wind..
Mes rps : (www) Jouons à chat ! ▬ feat. Ayaka.
(www) Comme un chat trempé dans l'eau. ▬ feat. Juri.
Humeur : Duveteuse.

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a écrit ce message le : Lun 11 Mar - 14:56
WELCOME ON MG (mais ça tu le sais déjà ♥).
Du peu que j'ai lu de ta fiche, ça me donne vraiment envie de connaître le reste ! Tu as un style d'écriture très agréable à lire. :3 Bref, je te valide ton code et te laisse finir ta fiche tranquillou. Bonne chance !
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a écrit ce message le : Lun 11 Mar - 21:03
Fiche finie !
J'suis carrément désolée pour la fin pitoyable... xD
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HIMAWARI « hear the whispering of the wind, in the solitude of the night » Empty
a écrit ce message le : Lun 11 Mar - 21:18

Même si tu étais là avant moi, Bienvenuuue ! 17
Ton personnage est super intéressant,
en plus de ta façon d'écrire. ;w;
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Hisae Nakamura

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a écrit ce message le : Lun 11 Mar - 22:06
Uggggnnnuuuh ! Cette métaphore filée tout au long du caractère, cette histoire tragique et pourtant si bien écrite... J'en pleure. YwY Cerveau de moi être tellement diminué que cerveau de moi devoir lire deux fois de suite pour comprendre style littéraire. Mais ceci dit, c'est un très bon choix d'écriture qui fait bien passer l'atmosphère dans laquelle vit le personnage. Tout ça pour dire que l'identité, le caractère & l'histoire sont tout bons dooonc... Te voici première humaine tout à fait banal à Hayasaki Hima' ! (8

tout est bon, t'es validé(e) !

félicitations
Le domaine Hayasaki t'ouvre ses portes ! Tu seras chambre n°03. N'oublie pas de le noter dans ton profil !

Désormais, tu peux commencer le RP en faisant une demande de sujet (www), trouver des potes grâce aux fiches de relations (www) ou même spammer le flood (www) ! Un petit tour au bottin des avatars (www) (ainsi qu'à celui des esprits (www) si tu en possèdes un) s'impose pour faire recenser le(s) tien(s). N'hésite pas à nous rejoindre sur la CB si l'envie te prend, on t’accueillera avec plaisir. ♥ En espérant que tu t'amuseras parmi nous, bon jeu ! :3
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