Nom. Murakami.
Prénom(s). Airi.
Surnom(s). Difficile de trouver un diminutif pour un prénom en deux syllabes. Donc, juste Airi.
Âge. 16 ans.
Sexe. Féminin.
Date&lieu de naissance. 25 novembre ; Tokyo.
Nationalité. Japonaise.
Origines. Japonaises et Coréennes.
Sexualité. Hétérosexuelle.
Groupe. Visionnaire.
Rôle. Étudiante.
Est ici depuis. Qu'elle a 14 ans, donc ça va faire deux ans.
Feat. original de Tae4021.

Qualités&défauts Froide ; Observatrice ; Solitaire ; Intelligente ; Je m'en foutiste ; Flemmarde ; Fumeuse ; Vulgaire parfois ; Pas peste, ni manipulatrice ; Mature.

Pseudo. Kris.
Âge. 154 ANS.
Comment es-tu tombé là ?. Je suis tombée sur un top-sites, et bouum shaka lakaa.
Suggestions ?. Je trouve que le forum est vraiment très beau, et c'est un gros coup de cœur. Je veux juste préciser que la double nationalité est interdite au Japon. Même pour les pays limitrophes, il faut abandonner toutes ses autres nationalités pour avoir celle du Japon (donc en gros, un Franco-japonais, c'est pas possible juridiquement). C'est un peu une remarque de maniaque, mais voilà, BREF. 8D ♥
Le code. VALIDÉ PAR HISA'

C'est cette partie qui va déterminer le caractère et le comportement de votre personnage. Un peu à la manière d'une interview, on vous demande de répondre comme si vous étiez votre personnage, donc à la première personne du singulier. N'oubliez pas que plus vous arrivez à jouer votre personnage, mieux on peut cerner celui-ci. Et n'hésitez pas à parsemer d'actions, à développer. (;

Comment as-tu connu Hayasaki ? « Mon frère est un Détenteur. Quand il a découvert son esprit, je l'ai vu, aussi. Il a fait pas mal de recherches, et nous avons découvert l'existence de Hayasaki. Il a intégré l'établissement, puis à mon tour, j'ai décidé de le rejoindre, en sachant qu'ils acceptaient aussi les gens comme moi, qui n'avaient pas encore d'esprit, mais qui pouvaient les voir. »

Et qu'en penses-tu ? « Bah, je me sens un peu alone, si vous voyez ce que je veux dire. Tout le monde est content d'exhiber » Elle fait des guillemets avec ses doigts. « son super animal, et de montrer ses supers capacités de la mort qui tue. Et donc, quand on me demande où est le mien, je dis juste que je n'en ai pas. Et quand ça me saoule trop, je dis qu'il est parti faire un tour. » Elle croise les jambes et regarde autour d'elle. « Vous croyez qu'on peut fumer ici ? » Elle plisse les yeux. « Enfin bref, Hayasaki est vraiment un monde de gros dingues, où on dit que l'établissement est hanté, et bla bla bla. »

Tu crois au paranormal ? Elle s'étouffe. « Heu. La question serait plutôt : comment ne pas y croire quand on est ici ? Non, mais sérieusement. Des esprits. C'est du paranormal. Alors oui, je suis bien forcée d'y croire. Je peux pas vous dire que c'est normal de voir des animaux apparaitre et disparaitre. Je suis pas une hippie. »

Un fantôme apparaît devant toi. Que fais-tu ? « Un fantôme, comme ceux dont les gosses parlent ? Je n'ai pas peur des fantômes. Je ne sais pas ce que je ferais fasse à un fantôme. Logiquement, on ne peut pas le toucher, mais lui non plus, donc je ne vois pas ce qu'il pourrait me faire. A part être là. Et terroriser des mômes. »

Tu avais un rêve en venant ici ? « Non pas vraiment. J'espère que mon esprit va vite se manifester. Que je vais obtenir mon diplôme et je pense que j'intégrerai de nouveau ma petite vie normale. »

Et quel serait ton pire cauchemar ? « Je pense que ça pourrait être... » Elle ricane nerveusement. « Perdre mon paquet de clopes, ou découvrir que mon esprit est un truc inutile et moche. Ou ne pas arriver à le contrôler et finir ma vie, dans un corps de puce, ou d'oursin, quelque chose du genre. »

Tu nous caches quelque chose non ? « Non. Je pense que je n'ai rien à cacher. Quand quelque chose ne me plait pas, je le dis. Et quand je trouve que quelque chose est cool, je le dis aussi. Je pense que je suis assez franche pour dire aux gens la vérité. Même si ça me vaut le qualificatif de sans tact. »

Tu possèdes un esprit ? Et si oui, dis-nous en plus ! « Non, pas encore. Malheureusement ou heureusement, je vous dirai le moment venu. Mais j'espère que ce ne sera pas un truc trop.. bizarre. Comme une sauterelle, par exemple. Ce serait le comble du ridicule. »

Un mot pour te décrire ? « Procrastination, aka remettre au lendemain ce qu'on peut faire le jour même, j'adore. »

Et physiquement, tu as des particularités ? « Ahahaha. Vous me demandez de me décrire, n'est ce pas ? » Elle se met droite sur sa chaise, et sourit. « Je pense que je plutôt grande. Oh, et je fais plus vielle que 16 ans, et j'avoue que ça me plait. Les gens ont tendance à me prendre plus au sérieux, du coup. Je porte les cheveux courts, parce que c'est énervant de devoir les coiffer le matin, un coup de brosser et hop, je suis prête. J'ai les yeux marrons, là, pas grand chose d'extraordinaire. » Elle relève la manche droite de son gilet. « Ici, j'ai un tatouage où il est écrit Momento Mori, ça signifie : souviens-toi que tu vas mourir. C'est un peu dark, mais quand je me le suis fait j'étais dans ma période latin, et toussa. Je ne regrette pas. »

Quelqu'un te pousse sans dire pardon. Tu réagis comment ? « Si je fais une tête de plus, que c'est un môme, je pense que je lui aboie dessus de s'excuser, s'il ne le fait pas je deviens vulgaire. Et ça peut aller crescendo comme ça. Par contre, si c'est un mec plus grand que moi, j'insiste pas. Je lui fais les yeux de la Mort, mais c'est tout. » Elle ricane. « J'ai un instinct de survie, tout de même. »

Si on te cherche, où peut-on te trouver dans le pensionnat ? « Dans le complexe Sportif, car j'aime bien me dépenser. Faire du sport tout ça, c'est mon dada. Sinon, le toit, quand j'arrive à pas me faire prendre par les pions. Sinon, à l'entrée de la forêt onirique, quand j'ai besoin de me fumer une clope discrètement. »

Tu as déjà touché à des substances illicites ou des armes ? « La drogue, c'est trop nul. Ça dure pas assez longtemps pour m'intéresser. » Elle s'étire. « Et les armes, ça ne m'intéresse pas non plus. Tu peux filer une arme à quelqu'un, si tu sais pas tirer, c'est presque plus dangereux pour le porteur qu'autre chose. » Elle fait la moue. « Pourquoi ? Vous m'prenez pour une délinquante, c'est ça ? »

Tu prêtes attention à ta famille, à tes proches ? « A mon frère, mes parents, non pas trop. Ils ne sont pas au courant pour le fait qu'on voie des trucs bizarres, et toussa. »

Si tu devais faire un sacrifice, pour qui ou quoi serait-il ? « Je ne suis pas le genre de fille qui fait des sacrifices, vous voyez. Je ne suis jamais tombée amoureuse, mais j'imagine que si je devais faire dans la guimauve... » Elle soupire en dévisageant l'interviewer. « Je dirais que ce serait pour cette personne. » Elle croise les bras. « C'est ce que vous vouliez, n'est ce pas ? Une réponse gnan-gnan. »

De quel œil vois-tu cette histoire d'esprits et de détenteurs ? « Il était une fois le monde. Et un jour, les humains virent des esprits. Et ils se donnèrent le nom de Détenteurs pour faire cool. Sauf qu'il y avait des gens comme moi, pour voir leurs petits animaux bizarres. Et au lieu d'envoyer tous ces gens dans un asile... » Elle regarde le plafond. « Ah oui, peut-être que nous sommes dans un asile. Enfin bref. Si on m'apprend que les licornes existent, je ne serai même pas surprise. »

Eh bien, bienvenue à Hayasaki ! Un dernier mot avant de se quitter ? « Avouez, c'était une caméra cachée. » Elle se lève et vérifie qu'on a rien mis sous sa chaise, en quête d'un micro. « Ce monde de tordus en a après moi, c'est pas possible autrement. »